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  •  Nous connaissons la vérité par le coeur Nous connaissons la vérité, non seulement par la raison, mais encore par le coeur ; c'est de cette dernière sorte que nous connaissons les premiers principes, et c'est en vain que le raisonnement, qui n'y a point de part, essaye de les combattre.  Nous savons que nous ne rêvons point ; quelque impuissance où nous soyons de le prouver par raison, cette impuissance ne conclut autre chose que la faiblesse de notre raison, mais non pas l'incertitude de toutes nos connaissances  Car la connaissance des premiers principes, comme l'existence de l'espace, du temps, des mouvements, des nombres, est aussi ferme qu'aucune connaissance donnée par nos raisonnements. Et c'est sur ces connaissances du coeur et de l'instinct qu'il faut que la raison s'appuie, et qu'elle y fonde tout son discours.  Les principes se sentent, les propositions se concluent ; et le tout avec certitude, quoique par différentes voies.) Et il est aussi inutile et ridicule que la raison demande au coeur des preuves de ses premiers principes, pour vouloir y consentir, que le coeur demandât à la raison un sentiment de toutes les propositions qu'elle démontre, pour vouloir les recevoir. Cette impuissance ne doit donc servir qu'à humilier la raison, qui voudrait juger de tout, mais non pas à combattre notre certitude, comme s'il n'y avait que la raison capable de nous instruire. Blaise Pascal!

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  •   Allez tranquillement parmi le vacarme et la hâte, et souvenez-vous de la paix qui peut exister dans le silence. Sans aliénation, vivez autant que possible en bons termes avec toutes personnes. Dites doucement et clairement votre vérité, et écoutez les autres, même le simple d'esprit et l'ignorant ; ils ont eux aussi leur histoire. Evitez les individus bruyants et agressifs, ils sont une vexation pour l'esprit. Ne vous comparez avec personne : vous risqueriez de devenir vain ou vaniteux. Il y a toujours plus grands et plus petits que vous. Jouissez de vos projets aussi bien que de vos accomplissements. Soyez toujours intéressés à votre carrière, si modeste soit-elle ; c'est une véritable possession dans les prospérités changeantes du temps. Soyez prudent dans vos affaires ; car le monde est plein de fourberies. Mais ne soyez pas aveugle en ce qui concerne la vertu qui existe ; plusieurs individus recherchent les grands idéaux ; et partout la vie est remplie d'héroïsme. Soyez vous-même. Surtout n'affectez pas l'amitié. Non plus ne soyez cynique en amour, car il est en face de toute stérilité et de tout désenchantement aussi éternel que l'herbe. Prenez avec bonté le conseil des années, en renonçant avec grâce à votre jeunesse. Fortifiez une puissance d'esprit pour vous protéger en cas de malheur soudain. Mais ne vous chagrinez pas avec vos chimères. De nombreuses peurs naissent de la fatigue et de la solitude. Au-delà d'une discipline saine, soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l'univers, pas moins que les arbres et les étoiles ; vous avez le droit d'être ici. Et qu'il vous soit clair ou non, l'univers se déroule sans doute comme il le devrait. Soyez en paix avec Dieu, quelle que soit votre conception d'elle ou de lui, et quelles que soient vos peines et vos rêves, gardez dans le désarroi bruyant de la vie, la paix dans votre âme. Avec toutes ses perfidies, ses besognes fastidieuses et ses rêves brisés, le monde est pourtant beau. Soyez positif et attentif aux autres. Tâchez d'être heureux. 

    .....Auteur inconnu .... Ce texte a été trouvé en 1692 dans la cathédrale de Baltimore.


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  • Il était une fois une famille vraiment très pauvre qui préparait NOEL comme elle le pouvait. Il y avait ERNIE le père, MAGUY la mère ,THYMOTE l'ainé de 8 ans, GABRIEL 6 ans, JOSEPHYNE 4 ans et NOEMIE 2 ans. ERNIE était l'unique héritier de SAMUEL, ultra milliardaire : on ne pouvait arriver à compter son argent tellement il en avait et pourtant il laissait son unique famille dans la misère. ERNIE avait perdu depuis un mois son unique travail qui lui permettait de tenir et d'espérer pouvoir avoir un NOEL tout simple. Tous les jours, il partait à la recherche d'un travail mais pour le moment tout était pris par des jeunes qui voulaient se payer des cadeaux ! ERNIE était désespéré et il alla vendre ses seuls trésors qu'il possédait son sang pour un peu d'argent et son alliance dont il en tira un maigre prix par rapport à ce qu'elle valait ! Puis il alla faire la vaisselle d'un grand restaurant qui lui donna les restes d'un mariage qui étaient encore mangeable et un autre petit peu d'argent qui lui permit d'acheter une petite dinde et des patates douces comme accompagnement . Pour ses enfants il avait attendu que des familles riches jettent des jouets presque neufs à la poubelle et il les avait rafistolés lui-même se débrouillant assez bien pour retaper les jouets. Il y avait un cheval de bois pour GABRIEL qu'il avait repeint, un vélo avec une roue voilée et la peinture écaillée qu'il avait retravaillé pour THYMOTE, une poupée aux membres cassés qu'il avait changés grâce aux membres d'une autre poupée et une peluche nounours avec des coutures trouées qu'il avait recousu avec amour pour la dernière très fragile. Il avait été cherché un petit sapin qu'il avait décoré avec sa femme avec des décorations qu'on avait jetés à la poubelle pour des neuves. Il y avait aussi une vieille dame qui lui avait donné un grand sac rempli de boules de laine de différentes couleurs dont la mère avait tricoté le soir un ensemble moufles, écharpe et bonnet pour les quatre enfants et pour son mari un pull de toutes les couleurs. L'amour qui régnait dans cette famille très pauvre était immense. ERNIE avait fait de ses mains une pipe qu'il alla offrir en cadeau à son oncle pour son NOEL en lui souhaitant de bonnes fêtes mais celui-ci était plongé dans ses comptes d'argent et avec un vague merci, il le laissa repartir sans un geste anodin d'un petit peu d'argent ! Après avoir couché leurs enfants qu'ils faisaient dormir pas très loin de l'unique source de chaleur, ERNIE embrassa sa femme et lui montra ses trouvailles, mit les jouets sous le sapin et partit se coucher près de sa femme, se blottissant dans ses bras découragé. il espérait recevoir quelques choses de son oncle pour appeler le médecin pour la petite dernière mais rien qu'un vague merci. Là haut, ils furent très en colère contre l'oncle surtout que lui aussi avait connu la misère avant de faire fortune et ils voulurent lui donner une bonne leçon. L'ange du passé vint le réveiller en pleine nuit et lui demanda de le suivre, qu'il n'avait pas le choix ! Il l'amena prés d'un petit garçon frigorifié qui regardait une vitrine, admirant des jouets qu'il n'aurait jamais, mendiant un peu d'argent pour survivre. Il était souvent repoussé par des gens comme lui aujourd'hui, non désireux de s'occuper de la misère des autres et il entendit sa voix d'enfant jurer que s'il s'en sortait un jour, jamais il ne fera pareil aux autres et pourtant, où était passé cette promesse d'enfant ....... Ils retournèrent dans sa chambre et l'ange du passé lui demanda d'attendre et de ne pas dormir, qu'il allait avoir d'autres visiteurs ......PUIS l'ange du futur vint le trouver et l'amena vers un cimetière où il vit qu'une famille avait été décimée par une mauvaise toux qu'elle n'avait pas pu soigner faute : manque d'argent et il lui montra aussi qu'il finit seul et ruiné car des voyous lui avaient volé tout son argent ! Ils rentrèrent à la maison et l'ange du présent lui apparut et l'emmena dans la pièce de son neveu qui s'était levé pour soigner sa petite NOEMIE qui toussait ! Il essayait de lui donner du lait chaud qu'elle avait du mal à boire et à avaler ! Mon Dieu, s'il vous plait, aidez moi à trouver l'argent pour la soigner, s'il vous plait : je ne veux pas la perdre ! Il entendit sa femme toussait aussi et il se mit à pleurer : j'irai mendier de quoi vous soigner à l'oncle SAMUEL demain, je vous le promets ! Et l'ange du présent le ramena chez lui et le laissa s'endormir sur tout ca ! Le lendemain SAMUEL se réveilla à l'aube comme il avait l'habitude et appela le meilleur médecin qu'il connaissait et lui demanda de se rendre chez son neveu le plus vite possible, que c'était une urgence et de l'attendre là bas ! PUIS sans compter, il remplit deux mallettes d'argent et pas des petits billets mais des gros et vite, en premier il déposa chez les pauvres une valise qu'il demanda de partager entre tout le monde ! Puis il alla commander pleins de jouets et de vêtements pour les enfants en demandant de les livrer; Chez un très bon traiteur commandant tous pleins de bonnes choses à livrer. Puis tout penaud il frappa à leur porte, où ERNIE le fit vite entrer : le médecin soignait tout le monde par mesure de prudence ! ERNIE se blottit dans les bras de son oncle en le remerciant mais ce ne fut pas sa seule surprise quand il vit arriver des jouets, de quoi chauffer mieux la maison,des très bonnes couvertures,de la nourriture et des tas d'autres choses ! Discrètement, SAMUEL avait déposé une grosse valise remplie d'argent au pied du sapin et il était sur le point de partir, le cœur triste et heureux à la fois, croyant n'avoir aucun droit de rester parmi eux et là soudain il entendit la petite de quatre ans lui dire : » joyeux Noel Papy, mange avec nous s'il te plait ! Regarde les anges sont venus pour nous et toi aussi tu fais parti de la famille ! « SAMUEL regarda ERNIE et MARJORIE ( les larmes aux yeux )qui lui firent un grand sourire et lui tendirent les bras : celui ci passa là le meilleur NOEL de sa vie et plus jamais il ne fut radin envers personne et il vécut vieux et heureux avec sa famille à ses côtés .......

    .....Reveries chez Brigitte


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