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    Le Racisme

    Le monde est méchant
    envers un tas de gens
    complètement innocents

    On leur crie des noms
    sans penser à ce qu'ils font
    quand ils sont seuls dans leur maison

    Ils ne pensent pas à la vie
    qui les a endurcis
    quand ils étaient dans leur pays

    Mais simplement aux emplois
    qu'ils font eux avec joie
    et avec une grande foi

    Mais aucun québécois
    même pas une seul fois
    ne ferait tel emploi

     

                                             Poeme chez Maman







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  •  Une jeune femme va chez sa mère et lui dit que sa vie est tellement difficile qu'elle ne sait pas si elle veut continuer. Elle veut abandonner, elle est fatiguée de se battre tout le temps. Il semble qu'aussitôt qu'un problème est réglé, un autre apparaît. Sa mère l'amène à la cuisine. Elle remplit trois chaudrons d'eau et les place chacun sur la cuisinière à feu élevé. Bientôt, l'eau commence à bouillir. Dans le premier chaudron, elle place des carottes, dans le deuxième, elle met des oeufs et dans le troisième, elle met des grains de café moulus. Elle les laisse bouillir sur le feu sans dire un mot. Après 20 minutes, elle retourne à la cuisinière. Elle sort les carottes et les place dans un bol. Elle sort les oeufs et les place dans un bol. Puis elle verse le café dans une carafe. Se tournant vers sa fille, elle dit: "Dis moi, que vois-tu ?" "Des carottes, des oeufs et du café", répond sa fille. La femme l'amène plus près et lui demande de toucher les carottes. La fille leurs touche et note qu'elles sont molles et souples. La mère lui demande alors de prendre un oeuf et de le briser. La fille enlève la coquille d'un oeuf et observe qu'il est cuit dur. Finalement, la mère lui demande de goûter au café. La fille sourit comme elle goûte son arôme riche. La fille demande alors: "Qu'est-ce que ça veut dire, maman ?" "Sa mère explique que chaque objet a fait face à la même eau bouillante, mais que chacun a réagit différemment. La carotte y est entrée forte, dure et solide. Mais après être passée dans l'eau bouillante, elle a ramolli et est devenue faible. L'oeuf était fragile avec l'intérieur fluide. Mais après être passé dans l'eau bouillante, son intérieur est devenu dur. Les grains de café moulus ont réagi de façon unique. Après avoir été dans l'eau bouillante, ils ont changé l'eau. "Lequel es-tu ? " demande la mère à sa fille. "Lorsque l'adversité frappe à ta porte, comment réponds-tu ? Es-tu une carotte, un oeuf ou un grain de café ? Penses-y ?" "Suis-je la carotte qui semble forte mais qui, dans la douleur et l'adversité, devient molle et perd sa force ? Suis-je un oeuf qui commence avec un coeur malléable, mais change avec les problèmes ? Ai-je un esprit fluide qui devient dur et inflexible dans la douleur ? Est-ce que ma coquille ne change pas mais mon intérieur devient un coeur dur ? Ou suis-je comme un grain de café ? Le grain change l'eau, il change la source de sa douleur. Lorsque l'eau devient chaude, il relâche sa fragrance et sa saveur. Si tu es comme le grain de café, tu deviens meilleure et tu changes la situation autour de toi lorsque les choses sont à leur pire." Comment réagissez-vous face à l'adversité ? Comme une carotte, un oeuf ou un grain de café ? En tout cas chose certaine, vous ne regarderez plus jamais une tasse de café de la meme facon....

    ....Auteur inconnu


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  • Il y a plusieurs siècles, on racontait l'histoire bien connue du plus grand de tous les chefs, toutes tribus confondues. À une époque où le pouvoir se mesurait par la force physique, la tribu la plus puissante était celle qui possédait le chef le plus fort. Toutefois, ce chef de tribu se distinguait également par sa sagesse. Soigneusement, il avait réglementé chacun des aspects de la vie de sa tribu afin d'assurer à tous, paix et sécurité. Le chef faisait respecter rigoureusement la loi et, depuis fort longtemps, il s'était acquis une réputation de juge sans compromis. Mais les lois ne garantissaient pas pour autant l'absence de problèmes. Un jour, on informa le chef qu'un membre de la tribu s'était rendu coupable de vol. Alors, ayant rassemblé son peuple, il lui dit: "Vous savez que les lois existent pour votre protection et pour vous permettre de vivre en paix et en sécurité, leur rappela-t-il affectueusement, les yeux lourds de tristesse. Ces vols doivent cesser. Nous avons tout ce dont nous avons besoin. La peine augmente donc de dix à vingt coups de fouet pour le coupable". Le méfait n'ayant pas cessé, le chef convoqua de nouveau son peuple. " Je vous en prie, implora-t-il, les vols doivent cesser. La situation envenime nos relations et cause du tort à tous. La pénalité vient d'augmenter à trente coups de fouet". Malgré tout, les vols se poursuivirent. Une fois de plus, le chef réunit les siens. "S'il vous plaît, je vous en supplie, pour votre bien, ces vols doivent prendre fin. Le mal qu'ils causent est tellement grand. J'augmente la peine à quarante coups de fouet". Les membres de la tribu connaissaient le grand amour que leur chef leur portait, mais seulement ceux qui se tenaient près de lui purent observer une larme couler doucement sur son visage lorsqu'il congédia le rassemblement. Finalement, un homme vint lui annoncer qu'on avait surpris le voleur en flagrant délit. La nouvelle s'étant vite répandue, tous s'étaient regroupés pour savoir de qui il s'agissait. À l'unisson, la foule exprima une exclamation de surprise en voyant le voleur s'approcher, escorté par deux gardes. De même, le visage du chef de la tribu s'affaissa sous le choc et le chagrin lorsqu'il reconnut sa propre mère, avancée en âge et tout frêle. "Que fera-t-il?", se demandèrent les gens alors que leurs paroles se transformaient en murmures. Appliquera-t-il la pénalité prescrite par la loi ou laissera-t-il son amour pour sa mère l'emporter? La peuplade attendit en chuchotant et en retenant son souffle. Enfin, leur chef s'exprima d'une voix brisée, à peine plus audible qu'un murmure: "Peuple bien-aimé, pour notre sécurité et pour notre paix, nous devons infliger les quarante coups de fouet. La douleur que ce crime a causée est trop importante". Hochant la tête il fit signe aux gardes d'amener sa mère. L'un deux retira la robe de façon à exposer le dos osseux et tordu de la vieille dame. L'homme désigné s'avança et commença à dérouler son fouet. Au même moment, le chef fit un pas en avant et enleva sa propre robe, exposant ses larges épaules, chevronnées et solides. Tendrement, il enveloppa sa chère maman de ses bras, la protégeant de son propre corps. Gentiment, il murmura quelques mots contre la joue de sa mère, alors que ses larmes se mélangeaient aux siennes. Il hocha la tête de nouveau et le fouet le frappa et le frappa encore et encore. Un moment unique où amour et justice s'unirent en parfaite harmonie.

    ......Auteur inconnu


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  •  Un jour, un vieux professeur de l'École Nationale d'Administration Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de dirigeants de grosses compagnies nord-américaines. Ce cours constituait l'un des 5 ateliers de leur journée de formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "faire passer sa matière ". Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout ce que l'expert allait lui enseigner), le vieux prof les regarda un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une expérience". De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof sortit un immense pot de verre de plus de 4 litres qu'il posa délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux à peu près gros comme des balles de tennis et les plaça délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda : "Est-ce que ce pot est plein?". Tous répondirent : "Oui". Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?". Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un récipient rempli de gravier. Avec minutie, il versa ce gravier sur les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot. Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et réitéra sa question : "Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, ses brillants élèves commençaient à comprendre son manège. L'un d'eux répondit: "Probablement pas !". "Bien !" répondit le vieux prof. Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table un sac de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot. Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le gravier. Encore une fois, il redemanda : " Est-ce que ce pot est plein ?". Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves répondirent : "Non !". "Bien !" répondît le vieux prof. Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda : "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience? " Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce cours, répondît : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment, on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ". "Non" répondît le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande vérité que nous démontre cette expérience est la suivante : "Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot, on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite". Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de l'évidence de ces propos. Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux dans votre vie ?" "Votre santé ?" " Votre famille ?" "Vos ami(e)s ?" "Réaliser vos rêves ?" " Faire ce que vous aimez ?" "Apprendre ?" "Défendre une cause ?" "Vous relaxer ?" "Prendre le temps... ?" "Ou... toute autre chose ?" " Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas réussir... sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier, le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants de sa vie. Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même la question : "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?" Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)" D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son auditoire et quitta lentement la salle.

    ....Paul Gadoury


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