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Par fleurdetiaree le 1 Novembre 2007 à 18:29vous qui etes si nombreux à passer sur mon blog n'oubliez pas que jy ai mis un livre d'or alors merci dy laisser votre message bonne soirée à tous
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Par fleurdetiaree le 1 Novembre 2007 à 15:48Un professeur demanda à un groupe d'étudiants : - Faites-moi une liste de ce que vous considérez être les sept merveilles du monde actuel. Certains pensèrent à citer l'Everest, Venise, La Mecque, le château de Versailles, le Kremlin, l'île de Pâques, les gratte-ciel, la Tour Eiffel, les chutes du Niagara, la banquise, la forêt amazonienne, la conquête spatiale... Malgré quelques désaccords, la majorité d'entre eux firent les réponses suivantes (sans ordre particulier) : Les Pyramides d'Egypte Le Taj Mahal La Grande Muraille de Chine Rome et la basilique Saint Pierre Le Grand Canyon Les chutes du Zambèze Les lignes de Nazca Alors qu'il ramassait les réponses, le professeur se rendit compte qu'une élève n'avait pas encore remis sa feuille. Il lui demanda si elle éprouvait de la difficulté à terminer sa liste. L'élève lui répondit : - Oui, un peu. Je n'arrive pas à me décider car il y a tellement de merveilles dans le monde. Le professeur lui répondit : - Hé bien, dis-nous ce que tu as trouvé et peut-être que nous pourrons t'aider... La jeune fille hésita, puis dit : - Je crois que les sept merveilles du monde sont : la vue l'écoute le toucher le goût le sourire les émotions l'amour La classe resta silencieuse. Ces choses sont tellement simples et ordinaires que nous oublions à quel point elles sont merveilleuses ! Souvenez-vous que les choses les plus précieuses de la vie ne peuvent s'acheter.
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Par fleurdetiaree le 31 Octobre 2007 à 11:35
Je l'ai prise dans mes bras, La petite sirène Aux yeux éblouis. Et voici qu'en chantant, ce soir, je la promène En mon beau paradis. Comme la lune sur la mer, Sa longue chevelure bleue Se mêle à la mienne, Qui est d'or. Sa belle queue Traîne Parmi les fleurs. Comme elle a peur, Comme son coeur bat sur mon coeur ! Je ne sais pas ce qu'elle pense. Elle me regarde en silence, De ses pâles yeux pleins d'effroi, Où quelque étrange songe sommeille. De la terre ils ne veulent Rien voir que moi ; Pour Elle, j'en suis la grande merveille, Et le mystère. Mais, parfois, Elle étend les doigts, Et touche l'air illuminé qui tremble, Car la lumière et l'air ressemblent à la mer. Et elle est triste, et parfois pleure. Je veux la déposer, doucement, dans le fleuve, Mon beau fleuve d'Eden, dont les divines eaux S'en retournent parmi la chanson des roseaux Vers la mer infinie, afin qu'il la ramène, Heureuse et consolée, à ses soeurs les sirènes, Et qu'elle joue encor, devant son miroir bleu, A peigner en chantant ses longs et beaux cheveux, Qu'ont effleurés, ce soir, quelques roses mortelles, Et ces baisers humains que mes lèvres y mêlent.
.....Charles Vanlerbergue
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Par fleurdetiaree le 30 Octobre 2007 à 19:35
Et c'est Lui, comme un matelot, et c'est lui, qu'on n'attendait plus, et c'est lui, comme un matelot, qui s'en revient les bras tendus pour baiser ceux qu'il a connus, rire à ceux qu'il n'a jamais vus, et c'est lui, comme un matelot, qui s'en revient le sac au dos. Or, bonnes heures, bonnes heures, laissez alors choir vos tricots, or, bonnes heures, bonnes heures, endormez-vous jusqu'à tantôt : il fait si chaud dans vos demeures et c'est fête de si bon cœur ! Mais, partances aux mâts d'en haut, voici s'agiter les vaisseaux, et c'est Lui, comme un matelot, qui, vides les pots, partira, et c'est lui, comme un matelot, et Dieu sait quand il reviendra.
....Max Elskamp
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Par fleurdetiaree le 29 Octobre 2007 à 18:55
Le soleil s'est-il brisé sur ta tête pour que tu sentes ses éclats s'enfoncer dans l'arbre qui soutient ton dos, puis vriller à sec dans les branches de ton corps ? Ton crâne est un énorme fruit vert que mûrit la canicule de tous les Tropiques, de tous les Tropiques, mais sans la fraîcheur de leurs palmiers ni de leur brise marine ! Ta gorge est sèche, tes yeux s'enflamment ; et voici que tu vois, au-delà de ce que voient les hommes, tous les Tropiques : voici des makis parés comme des mariés ; leurs quatre mains sont chargées de régime de bananes, et chargées de fleurs jamais vues par ceux qui ne sont pas des gens et, parmi leur voix heureuse de se baigner au soleil, voici tout le tumulte des cascades. Mais, simultanément, est-ce la glace de la terre qui t'appelle qui déjà t'enveloppe tout entier, pour que tu sentes ce frisson à travers tout ton être, et pour que tu sembles vouloir te cacher sous les nuages du ciel et sous toutes les feuilles des sylves insulaires, et sous toutes leurs lourdes brumes, et sous les dernières pluies au parfum de lait brûlé. Scelle fortement tes lèvres afin que n'en sorte aucune des choses que tu vois, mais que ne voient pas les autres ! Que te berce cet écho qui s'amplifie dans tes oreilles, lesquelles sont devenues deux coquillages jumeaux où palpite la mer qui t'entoure, ô jeune enfant des îles !
......Jean Joseph Rabearivelo
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